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Globe Troller 40

11.97 x 3.97 x 1.47 m
Aluminium précontraint Strongall®
Chantiers Meta et Olbia

VENDU ; contactez le chantier META pour de nouvelles constructions de ce beau voilier !

C’est mon bateau perso : un voilier ultra costaud et de grand voyage. Il étonne, Troller « lent’ pour son comportement au moteur, très économique en consommation. Bien voilé, il s’inspire des anciens navires de pêche hauturiers ( troller signifie pêcher à la cuillère). Mais il peut aussi offrir de vraies sensations sous voiles. Ses deux quilles et ses deux safrans offrent équilibre et performances sous voile qui peuvent étonner au regard de son faible tirant d’eau ou de sa silhouette. Son roof important offre une stabilité positive presque jusqu’à 180°. Le mât, une fois abattu, ne dépasse pas de la queue de mallet et de l’extrémité du bout-dehors afin de passer les écluses commodément.

Jean-Pierre Brouns

Pierre Antoine a effectué une course magistrale sur son trimaran de 27 ans


https://www.youtube.com/watch?v=YYLbQKNE8nk

Extrait du magazine ‘Voiles’ de janvier 2019
Sur son plan Jean-Pierre Brouns de 1991 construit en bois moulé, Pierre Antoine, 56 ans, géologue de formation, a atomisé la course. Pour sa quatrième participation, ce marin amateur chevronné s’est imposé sur Olmix en 15 jours et 1 heure, tout en étant allé récupérer Lalou Roucayrol sur son trimaran chaviré. Il a compté jusqu’à plus de 600 milles d’avance sur son dauphin. « Être au départ de cette course est à chaque fois une aventure où l’on fait des choses que l’on n’a pas l’habitude de faire, explique ce directeur de recherche au CNRS, parfaitement routé par l’ancien vainqueur du Figaro Dominic Vittet. Et la gagner ! C’est fantastique, sans trop de discussion de surcroît. On a eu de la chance, avec le mauvais temps du départ qui a favorisé mon solide Olmix, qui a déjà pris cinq fois le départ du Rhum. Il n’y a pas eu de répit, c’est pour cela qu’on est allé vite. Cela bougeait énormément, rodéo non-stop. Ça, c’était dur. La route Nord était complètement barrée. Il a fallu optimiser la route plus Sud, et je n’ai pas connu d’arrêt. Les alizés étaient forts, plus de 20 nœuds, parfaits pour le bateau. J’avais rêvé de gagner. Ma première victoire était une victoire à la Pyrrhus, car mes adversaires avaient abandonné sur chavirage. Cette année, on était 21 au départ avec plusieurs vainqueurs potentiels. » Comme IDEC Sport, c’est la troisième victoire dans le Rhum pour ce bateau, Franck-Yves Escoffier l’ayant emporté en 1998 et 2002.
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